Instagram, Facebook, Twitter,... les réseaux sociaux text style partie intégrante de nos strives. Au point tel que partager les minutes importants de notre strive sur les réseaux serait in addition to essential que d'en profiter. C'est le constat que dresse Jacob Silverman, journaliste et study américain.
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Réseaux sociaux : partager les minutes plutôt que les vivre pleinement
Les réseaux sociaux ont une grande impact sur notre comportement. Ils modifient notre affinity avec tout ce que nous faisons au quotidien. Lorsque l'on sort boire un verre entre copains ou trough au eatery en famille, la plupart d'entre nous ont un étrange réflexe : prendre une photograph et la partager sur les réseaux sociaux avant de faire quoi que ce soit d'autre.
Le journaliste et evaluate américain Jacob Silverman, qui sort un livre sur les réseaux sociaux ce mois-ci, consacre un (très) long article à ce phénomène et à notre comportement sur le site du Guardian, repéré standard le Courrier International. Selon lui, on peut carrément qualifier notre adjustment de comportement due aux réseaux sociaux de "nouveau mode de strive".
"Touristes de nos propres strives"
Nous sommes pris standard une pulsion de partager semi en temps réel de ce que nous faisons que cela devient une seconde nature. "Dans un paysage numérique construit sur la visibilité, le in addition to vital n'est pas tellement le contenu de ce que vous postez, mais l'existence même de vos productions", précise-t-il.
On partage des minutes qu'on ne vit pas, puisqu'on antiquated in addition to de temps à en parler qu'à en profiter dans la vraie strive. "Le fait de prendre des photographs fait désormais partie intégrante de nos soirées. Cela vous donne aussi quelque picked à faire, ce qui signifie que vous ne serez in addition to jamais simplement là, inactif. "Vivre l'instant présent" implique désormais de le capturer et de le posséder. Ce qui fait de nous des touristes de nos propres competes ".
Narcissisme et besoin de récompenses
Avant, on prenait le temps de développer ses photographs, on les mettait dans un collection, histoire de se keepsake, même des années après du "bon vieux temps". Les photographs qu'on partage sur les réseaux sociaux aujourd'hui ne sont pas là pour se keepsake d'un minute, mais bien pour faire savoir à nos "amis" ce que l'on fait. On veut que les autres nous regardent. Narcissiquement.
Et ce narcissisme va reprise in addition to loin. Selon Silverman, nous aurions un pic d'endorphine quand quelqu'un "like" notre photograph, la commente ou la partage. Cela stimule notre besoin de "récompenses " pour ce que l'on fait. Le at the same time, in addition to que de simplement partager, est de faire réagir à nos distributions les gens qui nous suivent sur ces réseaux. Aucun like ni commentaire sur une distribution, c'est l'échec ! " Le problème des notices, c'est que, comme les distributions, c'est sans balance. Nous sommes constamment en quête d'une bonne nouvelle, même quand nous sommes occupés standard une autre activité". On est donc en attente de réactions de nos amis virtuels, au point d'en oublier ce que l'on est en prepare de faire dans la strive réelle.
A la recherche du parfait "minute Facebook"
Sur Facebook, on ne partage pas les minutes importants, on partage plutôt les minutes que les personnes sur le réseau trouveront les in addition to importants. Dans cette optique, certains sont passés maitres dans l'art de dénicher LE parfait "minute Facebook". Le yet ? Trouver (et photographier, bien sûr) le minute, l'endroit, la circumstance qui engendrera le in addition to de réactions sur les réseaux. Et pas seulement les photographs, cela concerne aussi les informations que l'on partage, notamment les articles de presse, confie le journaliste Jacob Silverman, qui inclut child propre comportement dans child investigate : "Je pourrais me justifier en disant que j'ai envie de partager des informations avec les autres, mais ce serait mentir. La vérité est in addition to déprimante et se trouve du côté de l'égo : il s'agit avant tout de narcissisme. Le however est d'avoir l'air cool, keen et bien informé".
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Réseaux sociaux : partager les minutes plutôt que les vivre pleinement
Les réseaux sociaux ont une grande impact sur notre comportement. Ils modifient notre affinity avec tout ce que nous faisons au quotidien. Lorsque l'on sort boire un verre entre copains ou trough au eatery en famille, la plupart d'entre nous ont un étrange réflexe : prendre une photograph et la partager sur les réseaux sociaux avant de faire quoi que ce soit d'autre.
Le journaliste et evaluate américain Jacob Silverman, qui sort un livre sur les réseaux sociaux ce mois-ci, consacre un (très) long article à ce phénomène et à notre comportement sur le site du Guardian, repéré standard le Courrier International. Selon lui, on peut carrément qualifier notre adjustment de comportement due aux réseaux sociaux de "nouveau mode de strive".
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Nous sommes pris standard une pulsion de partager semi en temps réel de ce que nous faisons que cela devient une seconde nature. "Dans un paysage numérique construit sur la visibilité, le in addition to vital n'est pas tellement le contenu de ce que vous postez, mais l'existence même de vos productions", précise-t-il.
On partage des minutes qu'on ne vit pas, puisqu'on antiquated in addition to de temps à en parler qu'à en profiter dans la vraie strive. "Le fait de prendre des photographs fait désormais partie intégrante de nos soirées. Cela vous donne aussi quelque picked à faire, ce qui signifie que vous ne serez in addition to jamais simplement là, inactif. "Vivre l'instant présent" implique désormais de le capturer et de le posséder. Ce qui fait de nous des touristes de nos propres competes ".
Narcissisme et besoin de récompenses
Avant, on prenait le temps de développer ses photographs, on les mettait dans un collection, histoire de se keepsake, même des années après du "bon vieux temps". Les photographs qu'on partage sur les réseaux sociaux aujourd'hui ne sont pas là pour se keepsake d'un minute, mais bien pour faire savoir à nos "amis" ce que l'on fait. On veut que les autres nous regardent. Narcissiquement.
Et ce narcissisme va reprise in addition to loin. Selon Silverman, nous aurions un pic d'endorphine quand quelqu'un "like" notre photograph, la commente ou la partage. Cela stimule notre besoin de "récompenses " pour ce que l'on fait. Le at the same time, in addition to que de simplement partager, est de faire réagir à nos distributions les gens qui nous suivent sur ces réseaux. Aucun like ni commentaire sur une distribution, c'est l'échec ! " Le problème des notices, c'est que, comme les distributions, c'est sans balance. Nous sommes constamment en quête d'une bonne nouvelle, même quand nous sommes occupés standard une autre activité". On est donc en attente de réactions de nos amis virtuels, au point d'en oublier ce que l'on est en prepare de faire dans la strive réelle.
A la recherche du parfait "minute Facebook"
Sur Facebook, on ne partage pas les minutes importants, on partage plutôt les minutes que les personnes sur le réseau trouveront les in addition to importants. Dans cette optique, certains sont passés maitres dans l'art de dénicher LE parfait "minute Facebook". Le yet ? Trouver (et photographier, bien sûr) le minute, l'endroit, la circumstance qui engendrera le in addition to de réactions sur les réseaux. Et pas seulement les photographs, cela concerne aussi les informations que l'on partage, notamment les articles de presse, confie le journaliste Jacob Silverman, qui inclut child propre comportement dans child investigate : "Je pourrais me justifier en disant que j'ai envie de partager des informations avec les autres, mais ce serait mentir. La vérité est in addition to déprimante et se trouve du côté de l'égo : il s'agit avant tout de narcissisme. Le however est d'avoir l'air cool, keen et bien informé".
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